dictionnaires biographiques des révolutionnaires de l'Ain par commune

Commencé en 1997 par Jérôme Croyet, docteur en histoire, président fondateur de la SEHRI, conjointement au dictionnaire des Révolutionnaires de l'Ain, ce dictionnaire tente de référencer les soldats de l'Ain, natifs ou domiciliés dans le département, durant la Révolution et le Premier Empire.

Grâce à l'aide et la collaboration régulière de passionnés, d'historiens et d'érudits, ce dictionnaire ne cesse d'être mis à jour.
Désormais relativement complet, les notices se recoupent entre différentes sources d'archives : A.D. de l'Ain, Archives communales ou S.H.D., preuve de l'exhaustivité de ce travail de longue haleine et fruit d'une entr'aide passionnante.

L'auteur tient à remercier :
Mr Boyer (président de l'association Maréchal Suchet et membre de la S.E.A)
Mr Brayard, (licencié en histoire et secrétaire-adjoint de S.E.H.R.I.),
Mr Gauthier,
Mr Giordanengo (membre du Souvenir Napoléonien),
Mr Hiérnaux (administrateur du site http://volontaires.ain.free.fr/),
Mme Ladde, (archiviste-adjoint aux AD de l'Ain)
Mr Pradal (membre de S.E.H.R.I. et de la S.E.A.),
Mme et Mr Ricard-Dupont,
Mr Saint-Pierre (docteur en droit),
Thierry Vette (uniformologue et membre d'honneur de S.E.H.R.I.),
mais aussi l'association Maréchal Suchet, l'association Mérite Claude Journet, la Société d'Emulation de l'Ain ainsi que toutes les personnes qui ont aidé et contribué à ce présent dictionnaire.

L'auteur tient aussi à remercier chaleureusement ses collègues des Archives Départementales de l'Ain pour leur aide et soutien continuels.

Le dictionnaire est tenu à jour.

Si vous avez des informations complémentaires ou si vous désirez apportez des notices supplémentaires n'hésitez pas à nous contacter : sehri@netc.fr

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Abergement Clémenciat

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Abergement de Varey

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Agnereins

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Amareins

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Ambérieu en Bugey

La société populaire d'Ambérieu est créée au mois d'août 1790. Elle s'affilie au Club des Jacobins de Paris le 27 Novembre 1790. Elle délibère du 31 juillet 1791 au 29 frimaire an III. Elle tient une correspondance du 24 janvier 1791 au 6 nivôse an III. La société ne possède pas de cachet, son président utilise celui du juge de paix, en ventôse an II. La société envoie une pétition à Gouly pour l'approvisionnement des marchés. Suite à cela le représentant prend un arrêté, le 25 nivôse, qui fixe une taxe révolutionnaire sur les riches pour acheter du grain. Quand la société apprend la chute d'Hébert, une fête est donnée à Ambérieu dont un résumé, en forme de pétition de félicitations à la Convention est adressée au député Ferrand qui se fait le porte parole de la société à Paris. Le 27 brumaire an III, la société populaire d'Ambérieu envoie à l'agent national du district de Saint-Rambert le tableau de ses membres, en exécution du décret de la Convention du 25 Vendémiaire an III. Le 3 frimaire an III, l'agent national du district de Saint-Rambert envoie l'arrêté de Boisset à la société populaire ordonnant son épuration. Le 13 frimaire, elle envoie à l'agent national du district de Saint-Rambert le procès-verbal de l'épuration. Le 16 frimaire, l'agent national du district reçoit une lettre de son collègue de la municipalité d'Ambérieu, lui annonçant qu'il n'a pas reçu l'arrêté, car il soupçonne que des malveillants l'aient intercepté. C'est par ordre de l'agent national de la commune d'Ambérieu du 23 frimaire, que le noyau épurateur de la société se réunit du 23 au 29 du même mois. Ce dernier adopte un règlement qui proscrit de la société épurée toutes les personnes n'habitant pas la commune. L'adoption d'un candidat se fait après délibération. Les séances sont convoquées par le président pour le lendemain à 15 heures. Ils envoient une copie du procès verbal à l'agent national du district. Ce dernier reçoit l'extrait le 9 nivôse an III. A la fin de l'an V, 63 républicains d'Ambérieu, réunis en cercle constitutionnel, envoient une pétition de félicitations au Directoire pour le coup d'état du 18 fructidor contre les royalistes.

La société des sans-culottes d'Ambérieu se dote d'un comité de surveillance qui tient ses séances du 21 brumaire an II au 10 prairial an II. Le comité de surveillance de la commune d'Ambérieu entretient une correspondance du 25 brumaire an II au 1er messidor an II. Devenu comité de surveillance du canton d'Ambérieu, sa correspondance va du 10 messidor an II au 22 thermidor an II.

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Ambérieux en Dombes

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Ambléon

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Ambronay

La société des Amis de la Constitution d'Ambronay se reconstitue en société des Sans-Culottes d'Ambronay le 9 brumaire an II. Elle tient ses délibérations du 22 germinal an II au 10 frimaire an III. Elle a une correspondance du 10 prairial an II au 18 vendémiaire an III. Elle envoie une pétition à Gouly qui suspend son arrêté du 29 frimaire qui interdit d'abattre des veaux de moins de 18 mois. Le tableau des membres de la société populaire d'Ambronay est dressé le 25 brumaire an III et envoyé à l'agent national du district de Saint-Rambert le 29 brumaire an III. Le 3 frimaire, l'agent national du district de Saint-Rambert envoie à la société populaire l'arrêté de Boisset ordonnant l'épuration de la société. Le 2 frimaire, la société populaire renvoie un nouveau tableau de ses membres épurés que l'agent national reçoit le 18 frimaire an III.

Le comité de surveillance communal d'Ambronay est créé en brumaire an II. La société populaire forme le sien en frimaire an II. En 39 séances, le nombre moyen des membres présents au comité de surveillance communal est de 7. Il se réunit à la maison d'arrêt. Le comité de surveillance de la commune d'Ambronay tient des registres de délibérations du 20 brumaire an II au 1er prairial an II. Il ouvre un registre d'enregistrement des certificats de civisme, du 5 frimaire an II au 28 fructidor an II, ainsi qu'un registre de compte rendu à l'agent national, du 20 pluviôse an II au 10 fructidor an II. Il entretient une correspondance du 23 brumaire an II au 19 prairial an II. Devenu comité de surveillance du canton d'Ambronay, il tient ses séances du 5 prairial an II au 16 thermidor an II. Il ouvre un registre de correspondance, du 20 thermidor an II au 20 fructidor an II.

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Ambutrix

Le comité de surveillance d'Ambutrix est créé en nivôse an II. L'élection du bureau se fait, en moyenne, tous les 17 jours. La fréquence de réélection d'un membre au bureau est de toutes les 2 décades. Le comité de surveillance se réunit à la maison commune. Il tient ses séances du 23 nivôse an II au 5 messidor an II.

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Ameyzieu

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Andert et Condon

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Anglefort

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Apremont

Le comité de surveillance d'Apremont est créé en nivôse an II. L'élection du bureau du comité de surveillance se fait, en moyenne, tous les 20 jours. La fréquence de réélection d'un membre au bureau est de toutes les huit décades. Ses séances, au nombre de trize, s'étalent du 30 nivôse au 10 messidor an II. En dix séances, le nombre moyen des membres présents est de neuf. Le comité de surveillance se réuni à la maison commune.

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Aranc

La société populaire d'Aranc est fondée le 20 nivôse an II comme société populaire des Sans-Culottes d'Aranc. Elle tient ses séances au temple de la vérité et de la raison d'Aranc. Elle a une correspondance du 17 ventôse an II au 29 frimaire an III. Le 10 germinal an II, elle écrit à Albitte pour le maintien du canton d'Aranc. Elle dresse le tableau des membres le 3 frimaire an III. Le jour même l'agent national du district de Saint-Rambert envoie à la société populaire l'arrêté de Boisset ordonnant l'épuration de la société. Le 4 frimaire, la société populaire envoie à l'agent national du district d'Ambérieu le tableau de ses membres en exécution du décret de la Convention du 25 vendémiaire an III. Elle est épurée le 24 frimaire, suivant l'arrêté de Boisset, par 12 citoyens nommés par l'agent national de la commune d'Aranc le 20 frimaire an III, lors d'un scrutin après un report d'une décade. Le 13 nivôse an III, l'agent national du district de Saint-Rambert reçoit le procès-verbal de l'épuration.

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Arandas

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Arbent

Une société populaire de 8 membres est formée à Arbent le 11 pluviôse an II.

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Arbignieu

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Arbigny

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Argis

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Arlod

Le comité de surveillance communal d'Arlod créé en septembre 1793 et tient ses séances, à la maison commune, du 10 septembre 1793 au 25 ventôse an II. Il n'y a pas de société populaire à Arlod.

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Armix

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Arnans

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Aromaz

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Ars

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Artemare

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Asnières

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Attignat

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Bâgé-la-Ville

Le 10 octobre 1793 la société des Sans-Culottes républicains de Bâgé, fondée grâce aux soins de Merle, demande l'établissement d'une correspondance avec celle de Pont-de-Veyle. La société populaire de Bâgé tient une correspondance du 9 floréal an II au 23 floréal an II. Le 29 floréal an II, elle demande au représentant Méaulle de prendre des mesures contre les accapareurs de bœufs. Les scellés sont apposés sur ses papiers le 17 messidor an III. Les archives de la société sont emmenées à la mairie le 23 messidor an III.

Le comité de surveillance communal de Bâgé est créé en brumaire an II. Il s'occupe essentiellement de répression de trafic de subsistances. Le 12 frimaire an II, un membre dénonce les prix excessifs pratiqués par la femme de l'aubergiste Trepoz sur le pain et le vin vendus chez elle. Le comité invite la municipalité à poursuivre les époux Trepoz "comme infractaires à la loi" sur le maximum. De plus, il invite la municipalité à "surveiller tous les cabaretiers de cette commune pour les empêcher de vendre au delà du prix fixé par la loi" . Le 11 prairial an II, les membres du comité de surveillance ou révolutionnaire de Bâgé et un piquet de la Garde Nationale interpellent la femme Chatelet sur la route de Pont-de-Vaux à Bâgé, pour avoir acheter du beurre chez un particulier pour son usage et pas au marché. Son beurre est saisi. Puis, ils se rendent à l'auberge de Montplan où ils saisissent le poulet, le beurre et les œufs de Montangerent de Replonges pour ne pas les avoir acheté au marché.

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Bâgé-le-Châtel

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Balan

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Baneins

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Beaupont

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Beauregard

Le 15 pluviôse an II, le comité de surveillance de Beauregard envoie un arrêté au district de Trévoux dans lequel il fait mention de l'arrestation d'un conducteur de 57 porcs.

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Bélignat

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Bélignieux

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Bellegarde

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Belley

La société des Amis de la Constitution de Belley, existante en juillet 1791, est affiliée aux Jacobins de Paris. Ses séances extraordinaires sont annoncées par le tambour après permission de la mairie ou du comité de surveillance. Avec la fermeture de la société du Temple de Belley, la société des Sans-Culottes de Belley, face au nombre croissant de ses membres, a du mal à trouver une salle propice à ses débats. Bien qu'ayant siégé quelques temps au Temple de la Raison, elle doit le quitter dès lors que le clocher est démoli : le vent et la froideur s'engouffrant par le trou laissé ouvert. La société prend ses nouveaux quartiers dans la maison des Bernardins. mais celle-ci s'avère rapidement trop petite. Devant l'urgence de trouver un nouveau local, les sociétaires font connaître leur désir de changer de lieu à Albitte. Le 14 ventôse, Albitte loge la société des Vrais Amis de la Libération et de l'égalité de Belley dans la maison des Ursules appartenant au citoyen Michel. Lors de la séance du 14 ventôse an II, Baron Chalier propose une dénonciation du représentant du peuple Gouly. Le 25 thermidor an II, Jagot écrit à la société de Belley au sujet des patriotes incarcérés. Le 25 fructidor an II, la société populaire de Belley discute et adopte plusieurs articles de son règlement. Le 26 fructidor an II, la société populaire de Belley, invite celles de son district à venir célébrer avec elle la fête du 5e jour sans-culottide, afin de resserrer les liens les unissant. Le 19 brumaire an III, le bulletin de la Convention Nationale publie une pétition de la société populaire de Belley, demandant la punition des terroristes qui dénoncent les manœuvres de Boisset.

Si la municipalité de Belley convoque les citoyens pour le 29 septembre 1793 pour former un Comité de Salut Public, le comité de surveillance communal est créé en vendémiaire an II. Le comité de surveillance de Belley dresse une liste de suspects à incarcérer, le 14 brumaire an II.

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Belleydoux

Le comité de surveillance de Belleydoux est créé en brumaire an II.

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Belmont

Le comité de surveillance de Belmont est réorganisé par le Représentant du Peuple Gouly le 7 nivôse an II.

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Benonces

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Bény

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Béon

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Béreyziat

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Bettant

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Bey

Le comité de surveillance de Bey est formé le 7 frimaire an II.

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Beynost

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Billiat

Il n'existe pas de société populaire à Billiat.

Le comité de surveillance de la commune de Billiat est créé en Brumaire an II. L'élection du bureau du comité de surveillance se fait, en moyenne, tous les 41 jours. La fréquence de réélection d'un Membre au bureau est toutes les 4 décades.

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Billieux

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Birieux

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Biziat

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Blyes

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Bohas

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Boissey

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Bolozon

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Bouligneux

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Bourg Saint Christophe

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Bourg-en-Bresse ou Bourg Régénéré

La société populaire de Bourg, créée en 1790, est affiliée aux Jacobins de Paris en 1791. Elle se donne pour but "de protéger l'exécution des lois sages qui assurent le bonheur à tout citoyen, de concourir au maintien du bon ordre, de surveiller les ennemis du bien public et d'éclairer ceux qu'on voudrait rendre victime de leur bonne foi et de leur crédule simplicité". La société populaire des Amis de la Constitution de Bourg tient ses séances du 1er juillet 1792 au 17 septembre 1793. La société populaire de Sans-Culottes de Bourg, créée en août 1793, est épurée le 29 floréal an II sur arrêté de Méaulle du 27 floréal an II par 12 membres nommés par lui. La société des sans-culottes de Bourg tient un registre de ses séances du 4 février 1794 au 6 mai 1794. Devenue société républicaine des sans-culottes de Bourg, elle tient ses séances du 20 mai au 29 juillet 1794. Elle est de nouveau épurée par Boisset le 29 floréal an II. Le 1er jour complémentaire de l'an V, un groupe de 51 citoyens de l'Ain, réunis dans un cercle constitutionnel, félicite le Directoire du coup d'état du 18 fructidor contre les royalistes.
Les sociétés populaires de Bourg ont une correspondance de juin 1791 au 21 pluviôse an III. Le 24 septembre 1793, Mittié fils, agent du ministre de l'Intérieur écrit à ce dernier pour lui dire qu'à Bourg, il a donné "une vive impulsion à la société des sans-culottes qui est la bonne, et presque le coup de la mort à celle qui se qualifie de populaire et trame la perte du peuple sous les dehors trompeurs du patriotisme" . Il participe par sa présence à la fin de la société des Amis de la constitution et à l'avènement par son aval des sans-culottes. Le 30 septembre 1793, la commune de Paris félicite la société des sans-culottes de Bourg de vouloir correspondre avec elle. Le 19 nivôse an II, les membres du bureau de la société populaire écrivent au directoire du département de l'Ain pour demander le renvoi de tous les ouvriers travaillant aux ateliers publics qui refuseraient de travailler deux jours de suite à cause de fêtes chrétiennes et ou du dimanche, jusqu'à ce qu'ils soient acquis à la raison. Pour eux "il est intéressant de détruire de toute part l'hydre du fanatisme" . Le 3 pluviôse an II, la société des sans-culottes de Bourg adopte une dénonciation contre Gouly. Le 13 pluviôse, la société populaire de Belley informe la société de Bourg de son soutien envers les sans-culottes détenus par ordre de Gouly. Le 5 germinal an II, Blanc-Désisles fait une profession de foi des sans-culottes. Le 29 fructidor an II, l'agent national de la commune de Bourg réquisitionne la salle de la société populaire pour accueillir les parents des défenseurs de la patrie qui veulent prétendre à un secours.

Le Comité de surveillance de la société populaire de Bourg est créé en septembre 1793. Devenu Comité Central de Surveillance de l'Ain puis comité communal, il se réuni à la cure. Le comité de surveillance central du département de l'Ain est installé du 5 au 25 brumaire an II. Il dresse une liste de remplacements à faire au sein des autorités constituées dressées par le comité, des actes d'accusation des fédéraliste et aristocrates de Bourg qui sont déposés aux greffes de la commission Temporaire de Lyon. Il enregistre une dénonciation de Blanc-Désisles contre l'ingénieur Céard.

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Bouvent

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Boyeux

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Boz

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Brégnier

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Brénaz

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Brénod

Il n'existe pas de société populaire à Brénod.

Le comité de surveillance de la commune de Brénod est formé le 19 Brumaire an II, lors d'une assemblée des 96 citoyens actifs de la commune. Il est communal jusqu'au 25 Ventôse an II puis devient cantonal. L'élection du bureau du comité de surveillance se fait, en moyenne, tous les 18 jours. La fréquence de réélection d'un Membre au bureau est toutes les 2 décades. Ses séances, au nombre de 25, s'étalent du 1 Frimaire au 30 Messidor an II. En 26 séances, le nombre moyen des Membres présents est de 9. Le comité de surveillance se réuni dans une maison particulière.

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Brens

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Bressoles

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Brion

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Briord

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Buellas

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Buisseroles

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Burignat

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Cerdon

La société populaire de Cerdon est fondée le 13 novembre 1793. Le 19 brumaire an III l'agent national du district de St Rambert écrit à la société populaire de Cerdon pour lui demander une liste de ses membres en exécution du décret de la Convention du 25 vendémiaire an III. Le 3 frimaire an III l'agent national du district de St Rambert envoie à la société populaire l'arrêté de Boisset ordonnant l'épuration de la société. N'ayant pas reçu de réponse, l'agent national du district de St Rambert réécrit au président pour avoir le tableau le 14 frimaire an III. Le 19 frimaire an III, à 12 heures 30, l'agent national du district de St Rambert reçoit le procès-verbal de l'épuration.

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Certines

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Cesseins

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Cessia

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Cessy

Il n'y pas de société populaire à Cessy. Des citoyens de la commune sont inscrits à la société populaire de Gex.

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Ceyzériat

La société populaire des Sans-Culottes Vrais Amis de la République du canton de Ceyzériat tient des délibérations du 13 janvier 1793 au 8 messidor an II. Elle tient ses séances publiques dans la demeure du juge de paix. Les séances ont lieu le dimanche à 16 heures. Elle approuve l'exécution de Louis XVI, le 3 mars 1793. elle envoie une pétition à la municipalité, le 20 brumaire an II, pour que les citoyens s'abstiennent d'employer le mot maître. Elle interdit à ses membres, le 24 brumaire an II, de porter des boucles aux souliers et des boucles d'oreilles en or ou en argent. Elle décide de la création de carte de société, le 4 frimaire an II. Elle invite Albitte le 30 nivôse an II à venir leur rendre une visite. Elle refuse le 8 messidor an II d'accepter en son sein des membres exclus de la société des Sans-Culottes de Bourg. Un état des membres de la société populaire de Ceyzériat est dressé le 25 ventôse an III.

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Ceyzérieu

Une liste des membres de la société populaire de Ceyzérieu est dressé le 10 vendémiaire an III.

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Cezia

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Chalamont

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Chaléat

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Chaleins

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Chaley

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Challes

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Challex

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Champagne

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Champdor

Il n'y a pas de société populaire à Champdor.

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Champfromier

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Chanay

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Chaneins

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Chanoz Chatenay

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Chanoz

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Chapelle du Chatelard

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Charancin

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Charix

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Charnoz

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Château Gaillard

La société populaire de Château-Gaillard est créé le 5 juin 1791. Elle s'affilie aux Jacobins de Paris le 11 novembre 1791. Le tableau des membres est dressé le 1er frimaire an III. Elle entretient une correspondance surtout en 1791.

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Chatenay

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Châtillon de Michaille

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Châtillon la Palud

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Châtillon sur Chalaronne

La société populaire de Châtillon est créée le 20 avril 1791. Elle réunie des citoyens qui désiraient le faire depuis longtemps, à l'église des Capucins, dans le but de « se réunir en club et association patriotique pour développer de plus en plus les sentiments dont ils sont animés pour la nouvelle et bienfaisante Constitution du Royaume » . Dès sa formation, la société prévoit l'adoption d'un règlement mais aussi et surtout l'affiliation aux Jacobins de Paris.
Elle se dote d'un sceau le 25 avril 1791 portant « vivre libre ou mourir » avec comme légende « société des amis de la constitution de châtillon les dombes ». Le 25, un projet de règlement et de statuts est proposé . Son affiliation est demandée aux Jacobins de Paris, le 25 avril 1791, par l'intermédiaire de Cerisier, député suppléant. Le 25 avril 1791, il est décidé que chaque membre pourvoirait à la fourniture et l'entretien de sa chaise. Les chaises réservées aux spectateurs sont louées par les soins du président. La sopciété se réunie alors dans un local humide et mal sain. La société reçoit la Gazette de Cerisier à partir du 8 mai 1791. Le 15 mai 1791, la société décalre vouloir recevoir le Journal du Soir alors que plusieurs membres proposent de venir partager les journaux auxquels ils sont abonnés : les annales aptriotiques, la feuille villageoise et l'ami des patriotes de Brissot. Le 15 mai 1791, la société s'allarme des rumeurs de rassemblement de troupes étrangères sur les frontières du département et propose d'ouvrir à la mairie un registre pour y inscrire les volontaires pour défendre les lieux menacés par l'ennemi. La société de Châtillon reçoit ces lettres patentes d'affiliation aux jacobins de Paris le 29 mai 1791.
Le but de la société est « l'observance religieuse des devoirs de l'homme et du citoyen ». Elle proclame l'égalité de tous les hommes et la supériorité de la loi tout en étant tolérant. Ils doivent surveiller « les ennemis de la chose publique ». Tous ces principes faisant des hommes libres. Seuls les citoyens actifs ou les fils de citoyens actifs, ayant donnés les preuves de patriotisme, sera admis au club, sur présentation de deux fonctionnaires , nommés par els membres, et après avoir réunis les 4/5 des suffrages. Le président est nommé parmis les membres les plus anciens d'âge pour une semaine. Les séances sont publiques, chaque dimanche à 16 heures, mais une ligne sépare les membres des spectateurs. Le club est ouvert le mari et le jeudi, à 17 heures, à la manière d'un salon de lecture, pour y entendre la lecture des nouvelles. Les membres ayant la parole se lèveront et parleront tête découverte.
Elle tient 93 séances jusqu'au 30 ventôse an II. En octobre 1792, elle devient société des Amis de la Liberté et de l'Eglise. Elle a une correspondance de 1791 au 10 germinal an III. Le citoyen Bernier dit la Confiture, soldat au régiment de Briqueville remet à la société populaire de Châtillon son brevet d'invalide, qui lui assurait une pension militaire qui est brûlé publiquement durant une séance de la société. Le 5 thermidor an V, le dit Bernier, réclame un certificat à l'administration municipale de Châtillon pour remplacer le titre brûlé, pour être inscrit sur le tableau des invalides. L'administration municipale lui accorde un extrait de procès verbal. Le 10 germinal an III, l'agent national et le maire de Châtillon se rendent à 13 heures à la salle des séances de la société populaire afin de s'y réunir avec les commissaires vérificateurs des communes avoisinantes afin de former le jury de vérification des papiers de la société populaire. Ils n'y trouvent que les commissaires de Mézériat et de Montfaléon. Après 3 heures d'attente, les commissaires se séparent sans qu'aucun autre commissaire ne soit venu.

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Chavannes sur Reyssouze

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Chavannes

Le tableau des membres de la société populaire de Chavannes est dressé le 11 frimaire an III.

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Chaveyriat

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Chavornay

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Chazey Bons

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Chazey sur Ain

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Cheignieu la Balme

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Chemillieu

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Chevillard

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Chevroux

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Chevry

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Chézery

En l'an IV, des habitants de Chézery se réunissent en société pour une délibération, le 14 germinal.

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Civrieux

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Cize

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Cleyzieux

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Coisiat

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Coligny

Il y a une société populaire de vingt citoyens à Coligny. Elle prend une délibération le 14 brumaire an II. Suite au coup d'état contre les royalistes du 18 fructidor an V, des citoyens de la commune et du canton de Coligny, réunis en cercle constitutionnel, adressent une pétition de félicitation au Directoire.

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Collex et Bossy

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Collonges

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Colomieu

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Conand

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Condamine la Doye

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Condeissiat

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Confrançon

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Contrevoz

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Conzieu

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Corbonod

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Corcelles

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Cordieux

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Corlier

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Cormaranche

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Cormoranche

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Cormoz

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Corveissiat

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Courmangoux

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Courtes

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Crans

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Craz en Michaille

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Cras sur Reysssouze

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Cressin

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Crottet

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Crozet

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Cruzilles

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Cuet

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Cuisiat

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Culoz

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Curciat

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Curtafond

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Cuzieu

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Dagneux

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Divonne les Bains

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Dommartin

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Dompierre sur Chalaronne

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Dompierre sur Veyle

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Domsure

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Dortan

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Douvres

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Drom

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Druillat

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Echallon

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Echazeau

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Echevenex

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Etables

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Etrez

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Evosges

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Faramand

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Fareins

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Farges

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Feillens

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Ferney

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Fitignieu

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Flaxieu

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Fleurieux

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Fleyriat

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Foissiat

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Francheleins

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Frans

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Garnerans

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Genay

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Genouilleux

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Géovraisset

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Géovraissiat

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Germagnat

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Gex

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Giron

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Gorrevod

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Grand Abbergement

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Grand Corent

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Granges

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Granvillard

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Gravelles

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Grièges

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Grilly

Les séances du comité de surveillance de la commune de Grilly, au nombre de 15, s'étalent du 30 pluviôse au 10 prairial an II. Le comité de surveillance se réuni à la maison commune.

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Groissiat

Le comité de surveillance de Groissiat est communal.

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Groslée

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Guéreins

Le comité de surveillance communal de Guéreins organisé le 17 novembre 1793. Il est réorganisé le 30 nivôse an II.

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Hautecourt

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Hauteville

Le comité de surveillance d'Hauteville applique la loi sur les liens de parenté dans les comités, le 10 floréal an II, et épure deux cousins germains. L'élection du bureau du comité de surveillance se fait, en moyenne, tous les quinze jours. La fréquence de réélection d'un membre au bureau est toute les 8 décades. Ses séances, au nombre de 23, s'étalent du 28 germinal au 30 fructidor an II. Le comité de surveillance se réuni dans la salle de l'école.

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Hostiaz

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Hotonnes

Le comité de surveillance d'Hotonnes est communal.

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Illiat

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Injoux

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Innimond

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Izenave

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Izernore

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Izieu

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Jassans

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Jasseron

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Jayat

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Journans

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Joyeux

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Jujurieux

Le comité de surveillance de Jujurieux est créé le 4 frimaire an II. Il se réunie à l'église. L'élection du bureau du comité de surveillance se fait, en moyenne, tous les 35 jours. La fréquence de réélection d'un membre au bureau est toutes les 4 décades. Le comité de surveillance applique la loi sur les liens de parenté dans les comités, le 10 nivôse an II, et épure quatre frères et deux beaux-frères. Comité de surveillance qui applique la loi sur le cumul des fonctions le 30 nivôse an II, il comptait alors deux officiers municipaux et quatre officiers de la Garde Nationale.

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La Balme

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La Boisse

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La Burbanche

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La Tranclière

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Lacoux

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Lagnieu

Le comité de surveillance de Lagnieu est créé en brumaire an II. Le comité de surveillance se réuni dans une maison particulière. Il applique la loi sur les liens de parenté dans les comités, le 1er nivôse an II, et épure deux frères et trois beaux frères. Il applique la loi sur le cumul des fonctions le 13 brumaire an II, il comptait alors un notaire public. L'élection du bureau du comité de surveillance se fait, en moyenne, tous les 14 jours. La fréquence de réélection d'un Membre au bureau est toutes les 5 décades. Ses séances, au nombre de 142, s'étalent du 4 novembre au 20 fructidor an II. En 34 séances, le nombre moyen des membres présents est de 7.

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Laiz

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Lalleyriat

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Lancrans

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Lantenay

Le comité de surveillance de Lantenay est communal.

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Lapérouse

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Lavour

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Le Plantay

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Léaz

Le comité de surveillance de Léaz est communal.

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Lélex

Le comité de surveillance de Lélex est créé en nivôse an II. Ses séances, au nombre de 20, s'étalent du 1er nivôse au 30 prairial an II. Le comité de surveillance se réuni à la maison commune.

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Lent

Un comité de surveillance est formé au sein de la société populaire de Lent au début de l'an II (nivôse-ventôse an II).

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Les Rippes

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Lescheroux

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Leyment

Le comité de surveillance de la commune de Leyment se réuni à la maison commune. L'élection du bureau du comité de surveillance se fait, en moyenne, tous les 31 jours. La fréquence de réélection d'un membre au bureau est toute les 5 décades.

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Leyssard

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Lhuis

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Lilignod

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Lochieu

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Lompnas

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Lompnes

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Lompnieu

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Longchamp

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Longecombe

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Loyes

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Loyettes

Le comité de surveillance de la commune de Loyettes se réuni à la cure. L'élection du bureau du comité de surveillance se fait, en moyenne, tous les 23 jours. La fréquence de réélection d'un membre au bureau est toute les 3 décades.

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Lurcy

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Luthézieu

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Magnieu

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Maillat

Le comité de surveillance de Maillat est communal.

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Malafretaz

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Mantenay

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Manziat

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Marboz

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Marchamp

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Marignieu

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Marlieux

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Marsonnas

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Martignat

Le comité de surveillance de Martignat est communal est créé en brumaire an II. Il est actif jusqu'au 25 ventôse an II. Ses séances, au nombre de 14, s'étalent du 20 brumaire au 4 messidor an II. L'élection du bureau du comité de surveillance se fait, en moyenne, tous les 28 jours. La fréquence de réélection d'un membre au bureau est toutes les 2 décades.

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Massieux

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Massignieu

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Matafelon

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Meillonnas

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Mépillat

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Mérignat

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Messimy

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Meximieux

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Meyriat

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Meyrin

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Mézériat

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Mionnay

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Miribel

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Mizérieux

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Monceau

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Montagnat

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Montagnieu

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Montanay

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Montanges

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Montellier

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Nantua

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Napt

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Neuville les Dames

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Neuville sur Ain

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Neyrolles

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Nivollet

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Ochiaz

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Oncieux

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Peyriat

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Peyzieu sur Saône

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Pont d'Ain

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Quatrième bataillon de l'Ain

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Ramasse

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Rancey

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Relevant

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Replonges

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Reyrieux

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Rignat

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Rignieu le Franc

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St Denis

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St Genis

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St Geny

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St Jean d'Etreux

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Yon

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Bibliographie de la Révolution dans l'Ain

Anonyme : Coligny sous la Révolution. 1992 Coligny St Amour éditions du Suran. 143 pages.

Ouvrage collectif : Images et héritages de la Révolution dans l'Ain. Colloque de Bourg-en-Bresse des 6 et 7 octobre 1989 imprimerie du Conseil Général de l'Ain. 236 pages.

ABBIATECI (A.) et PERDRIX (P.) : Les débuts de la Révolution dans les pays de l'Ain 1787-1790. Bourg 1989. 223 pages.
ARENE (J.) : Pendant la Révolution. Nantua imprimerie Arène, 1934, 149 pages.

BALLAND (M.) : Les Ateliers Révolutionnaires de Salpêtre dans l'Ain. Paris in LA Revue Scientifique, 27 Janvier 1900 et 3 Février 1900, pages 1 à 36.
BARIOZ (L.) : La Paroisse de Lompnas-Marchamp avant la Révolution. Belley in Le Bugey. Année 1995, pages 165 à 188.
BELLOD (C.A.) : La Plume et le Rabot, Journal écrit de 1773 à 1828 par Claude-Antoine BELLOD, menuisier et maître d'école au Grand-Abergement. Edition critiquée par ABBIATECI (A.), LAFFAY (A.) et CATTIN (P.), Bourg-en-Bresse Les Amis des Archives de l'Ain éditeur, 1996, 248 pages.

CHAGNY (A.) : Lettres d'Anthelme Brillat-Savarin à Jean-Antoine de Rostaing. extrait des Annales de la Société d'Emulation de l'Ain Bourg-en-Bresse imprimerie Berthod 1955. 19 pages.
CROYET (Jérôme). Les comités de surveillance dans l'Ain, mars 1793 - 1er ventôse an III. Lyon, Université Lyon II, 1997, 96+21 p., ill.
CROYET (Jérôme) : les comités de surveillance dans l'Ain dans Nouvelles Annales de l'Ain, Bourg, Société d'Emulation de l'Ain, 2001.
CROYET (Jérome) : Sous le bonnet rouge: Politisation, idéologie et sociologie des militants révolutionnaires de l'Ain. Doctorat d'histoire sous la direction de Serge Chassagne, Lyon, Université Lumière Lyon II, 2003.
CROYET (Jérôme) : Dictionnaire des Révolutionnaires de l'Ain. assosehri.fr, 2010

DESBAT (L.) : Les Loges Maçonniques à Thoissey. 1777 - 1811. Bourg-en-Bresse in Les Nouvelles Annales de l'Ain, année 1987, pages 32 à 64.
DUBOIS, Eugène. Histoire de la Révolution dans l'Ain. Bourg, 1931-1935
DUBOIS (E.) : La société des Amis de la Constitution et des Sans-Culottes de Bourg. 1791-1794. Bourg-en-Bresse imprimerie Victor Berthod 1930. 85 pages.
DUBOIS (E.) : La société des Sans-Culottes de vendémiaire à floréal an II in bulletin des naturalistes et des archéologues de l'Ain. Bourg-en-Bresse janvier 1931 pages 253-295.
DUBOIS (E.) : La société populaire des Amis de la Constitution de Châtillon-sur-Chalaronne. 1791-1794 in bulletin des naturalistes et des archéologues de l'Ain. Bourg-en-Bresse janvier 1932 pages 183-219.
DUBOIS (E.) : Châtillon-sur-Chalaronne et son district pendant la Révolution Française (1789-1800). Bourg-en-Bresse imprimerie nouvelle Victor Berthod, 1926, 222 pages.

LEDUC, Philibert. Histoire de la Révolution dans l'Ain. Bourg, 1879-1884

PLAGNE (H.) et PERONNET (M.) : La Révolution dans l'Ain 1789-1799. Roanne éditions Horvath 1989. 136 pages.

SUBREVILLE (G.) : L'Apprentissage à Bourg sous la Révolution. Bourg-en-Bresse in Les Nouvelles Annales de l'Ain. Année 1982, pages 126 à 162.
SUBREVILLE (G.) : Le Prêt à intérêt à Belley sous la Révolution. Belley in Le Bugey. Année 1995, pages 101 à 132.

le site des comités et des sociétés

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